L’USB-C est partout. Sur les derniers smartphones, les ordinateurs portables, les tablettes, les écrans, les casques audio, et même consoles de jeux. Ce petit connecteur réversible, à la forme ovale caractéristique, est en devenu le nouveau standard universel de la connectique.
Mais derrière cette apparente simplicité, l’USB-C cache une grande complexité technique et commerciale : tous les ports USB-C ne se valent pas, tous les câbles non plus, et il est parfois difficile de s’y retrouver entre les versions USB 3.1, 3.2, Thunderbolt 3 ou 4, Power Delivery, ou encore DisplayPort.
Dans cet article, on vous explique tout ce que vous devez savoir sur ce port en 2025 : comment il fonctionne, à quoi il sert vraiment, comment choisir le bon câble et surtout pourquoi ce connecteur a changé notre rapport à la technologie.
- Qu’est-ce que l’USB-C ?
- USB-C, USB 3.x, USB 4, Thunderbolt : quelles différences ?
- USB-C : un connecteur pour tout faire
- Compatibilité et limites : ce que l’USB-C ne garantit pas
- Bien choisir son câble USB-C
- Obligation européenne et critiques
- FAQ sur l'USB Type-C : nos réponses à toutes les questions que vous vous posez
- Qu’est-ce que l’USB Type-C ?
- Quelle est la différence entre USB-C et USB-A ?
- Quelle est la différence entre USB-C et HDMI ?
- L’USB-C est-il compatible avec tous les appareils ?
- Est-ce que l’USB-C remplace le Lightning sur iPhone ?
- Pourquoi mon câble USB-C ne fonctionne pas ?
- Peut-on connecter un écran via USB Type-C ?
- Quelle est la puissance maximale d’un câble USB-C ?
- Peut-on écouter de la musique via un port USB-C ?
- Comment choisir un bon câble USB-C ?
Qu’est-ce que l’USB-C ?
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, l’USB-C n’est pas une norme de transfert de données ou de puissance. Il s’agit d’un format de connecteur physique, introduit en 2014 par l’USB Implementers Forum, et qui a depuis bouleversé le monde de la connectique.
Ce connecteur, aussi appelé USB Type-C, a une forme ovale, symétrique et surtout réversible : il peut être branché dans n’importe quel sens, à la différence des anciens ports USB-A ou micro-USB. Rien que cela constitue déjà une petite révolution dans l’expérience utilisateur.
L’USB Type-C a été conçu pour unifier plusieurs types de connectiques puisqu’il comprend 24 broches, réparties de manière symétrique pour permettre une connexion réversible (branchable dans les deux sens).. Son ambition : remplacer à la fois les ports de données, d’alimentation, et de sortie vidéo.
Certaines broches comme CC1 et CC2 sont utilisées pour négocier les fonctions entre l’hôte et le périphérique, notamment en Power Delivery. Les broches SBU1/SBU2 sont dédiées aux fonctions annexes comme le mode alternatif ou l’audio.
En un seul câble, il est possible de :
- Charger un appareil (smartphone, ordinateur, tablette, etc.)
- Transférer des fichiers à haute vitesse
- Afficher une image sur un écran externe (HDMI, DisplayPort)
- Diffuser de l’audio numérique (casques, enceintes)
Ce connecteur universel permet donc de simplifier l’expérience au quotidien et d’éviter l’encombrement de multiples câbles et adaptateurs. Il est devenu le standard incontournable sur de nombreux appareils récents, y compris sur les produits Apple, qui ont longtemps résisté avec le connecteur Lightning (coucou l’iPhone).
Des performances variables selon les normes
C’est là que l’USB-C devient trompeur : tous les ports et tous les câbles USB-C ne se valent pas. Ce format de connecteur peut transporter différents types de signaux, mais c’est la norme USB ou Thunderbolt sous-jacente qui détermine les performances réelles :
- USB 2.0 / 3.0 / 3.1 / 3.2 / 4.0 : pour les débits de données
- USB Power Delivery (PD) : pour la puissance de charge (jusqu’à 240 W)
- Thunderbolt 3 / 4 : pour les transferts ultra-rapides (jusqu’à 40 Gbit/s), la vidéo 4K/8K, les docks multiports, etc.
En d’autres termes, un port USB Type-C ne garantit ni la charge rapide, ni la sortie vidéo, ni un débit élevé, sauf si le fabricant précise les spécificités techniques.
USB-C, USB 3.x, USB 4, Thunderbolt : quelles différences ?
L’un des plus gros malentendus autour de l’USB-C, c’est de croire qu’il garantit automatiquement des vitesses élevées ou une recharge rapide. En réalité, le connecteur peut cacher des normes très différentes, parfois limitées à de l’USB 2.0 basique.
Pour y voir plus clair, voici un tableau récapitulatif des principales versions et standards utilisant le port USB-C :
| Norme | Connecteur | Débit max | Charge max | Vidéo | Année |
| USB 2.0 | USB-A / USB-C | 480 Mbit/s | 2,5 W (5V/0,5A) | ❌ | 2000 |
| USB 3.0 / 3.1 Gen 1 | USB-A / USB-C | 5 Gbit/s | 4,5 W à 15 W env. | ❌ / partielle | 2008+ |
| USB 3.1 Gen 2 | USB-C | 10 Gbit/s | Jusqu’à 100 W (PD) | ✅ (DisplayPort) | 2013 |
| USB 3.2 Gen 2×2 | USB-C | 20 Gbit/s | Jusqu’à 100 W (PD) | ✅ | 2017 |
| USB4 | USB-C | 40 Gbit/s | Jusqu’à 240 W (PD EPR) | ✅ | 2019 |
| Thunderbolt 3 | USB-C | 40 Gbit/s | Jusqu’à 100 W | ✅ (4K/5K vidéo) | 2015 |
| Thunderbolt 4 | USB-C | 40 Gbit/s | Jusqu’à 100 W | ✅ (4K/8K vidéo) | 2020 |
L’USB Power Delivery (PD) est une norme complémentaire qui permet de délivrer plus de puissance via USB-C. Elle peut atteindre jusqu’à :
- 100 W (20V / 5A) dans les versions classiques
- 240 W dans sa version EPR (Extended Power Range), utile pour les PC gaming ou les stations de travail
Attention : certains câbles ne supportent pas la puissance maximale même s’ils ont un port USB-C. Il est donc important de vérifier la certification du câble (marquage ou fiche technique).
USB-C : un connecteur pour tout faire
Pour recharger (presque) tout
L’un des grands atouts de l’USB-C, c’est sa capacité à transporter de l’énergie : avec la norme USB Power Delivery, on peut atteindre jusqu’à 240 W de puissance, de quoi alimenter un smartphone, un PC portable, un écran externe ou même un petit onduleur.
Aujourd’hui, de nombreux appareils exploitent l’USB-C comme unique port de charge :
- Smartphones Android
- MacBook Air / Pro
- iPad Pro / Air / Mini récents
- Ultrabooks Windows
- Switch, Steam Deck, etc.
- Batteries externes
Attention : tous les câbles USB-C ne supportent pas la même puissance. Pour des charges rapides ou puissantes, mieux vaut utiliser un câble certifié USB PD (Power Delivery) compatible avec l’intensité souhaitée.
Pour des charges rapides ou puissantes, mieux vaut utiliser un câble USB-C certifié Power Delivery capable de délivrer 100 à 240 W.
Pour transférer des données
En fonction du standard utilisé (USB 3.0, 3.2, Thunderbolt…), l’USB-C permet de transférer des fichiers à des vitesses allant jusqu’à 40 Gbit/s. Cela en fait un choix idéal pour :
- Brancher un disque dur externe ou un SSD
- Connecter un dock USB-C avec plusieurs ports
- Transférer rapidement des photos ou vidéos depuis un appareil photo
- Synchroniser des données entre appareils
Là encore, tout dépend de la norme USB intégrée au port. Un câble USB-C en USB 2.0 plafonnera à 480 Mbit/s, tandis qu’un câble Thunderbolt 4 permettra un débit bien supérieur.
Un câble USB 3.2 Gen 2 ou Thunderbolt est indispensable pour profiter de vitesses proches de 40 Gbit/s.
Pour l’audio et la vidéo
Autre usage puissant : l’affichage vidéo et audio. Grâce au mode Alt Mode DisplayPort ou HDMI, l’USB-C peut servir de :
- Sortie vidéo vers un moniteur externe (jusqu’à 8K en Thunderbolt 4)
- Port d’entrée audio pour un casque USB-C ou un DAC audio
De nombreux ordinateurs portables actuels remplacent même leur sortie HDMI par un port USB Type-C compatible DisplayPort. Idem pour les smartphones haut de gamme, capables d’envoyer un signal vidéo (comme Samsung DeX).
En plus du numérique, l’USB Type-C peut aussi transmettre un signal audio analogique, notamment sur certains smartphones sans prise jack. Dans ce mode spécifique :
- les broches D+ / D- deviennent les canaux gauche et droit,
- SBU1/SBU2 servent pour le micro et la masse audio.
Attention : cette implémentation varie selon les marques et n’est pas universellement prise en charge, notamment à cause de l’absence d’un standard commun TRRS.
💡 Bon à savoir : certains hubs ou adaptateurs USB-C intègrent des ports HDMI, Ethernet, USB-A, et plus encore. C’est grâce à ces fonctions avancées que l’USB-C peut transformer un seul port en station d’accueil complète.
Compatibilité et limites : ce que l’USB-C ne garantit pas
L’USB-C a beau être présenté comme le connecteur universel, il n’offre aucune garantie absolue sur ses fonctionnalités. Pourquoi ? Parce que sa forme physique peut cacher des capacités très différentes, selon l’appareil, le câble et les normes embarquées. Les câbles USB-C les plus performants sont dits actifs : ils contiennent une puce d’identification conforme à la norme USB Power Delivery, permettant de signaler leur compatibilité (débit, puissance, vidéo…). Malheureusement, certains câbles bon marché ne respectent pas ces spécifications, ce qui peut entraîner des dysfonctionnements, voire endommager vos appareils.
Un port USB-C peut très bien ne transporter que de l’énergie (charge sans données), ne pas gérer la vidéo, limiter la puissance de charge à 15 ou 30 W ou être bridé à de l’USB 2.0 (débit très faible).
💡 Exemple réel : sur certains ordinateurs portables, un port USB Type-C peut servir uniquement à la recharge, tandis qu’un autre port (visuellement identique) permet les transferts de données et la sortie vidéo. C’est source de nombreuses confusions. Notons tout de même que la majorité des constructeurs apposent un indicateur visuel pour détecter la différence.
Tous les câbles USB-C se ressemblent, mais ils sont loin d’offrir les mêmes performances. Certains ne permettent que la charge lente, d’autres sont limités à l’USB 2.0 avec des débits très faibles, et peu sont capables de supporter les 240 W nécessaires à la charge des appareils les plus puissants via USB Power Delivery EPR.
Quant à la compatibilité avec Thunderbolt, elle exige des câbles certifiés, souvent actifs et bien plus coûteux. Résultat : utiliser un câble USB-C de mauvaise qualité peut entraîner des temps de charge interminables, des déconnexions imprévues, une absence d’affichage vidéo ou pire encore, une surchauffe dangereuse du câble. Il est donc essentiel de vérifier les spécifications techniques avant d’acheter ou d’utiliser un câble, même si son apparence est identique à un câble haut de gamme.
L’étiquetage : le grand absent
Le gros problème, c’est qu’il n’existe pas de signalisation visuelle standardisée pour indiquer les capacités d’un port ou d’un câble USB-C. À moins que le fabricant appose un logo clair (USB PD, Thunderbolt, 240 W…), il est presque impossible de deviner les capacités réelles sans consulter la fiche technique.
C’est pourquoi le choix du câble et du port est essentiel, surtout si vous utilisez un appareil exigeant (MacBook Pro, dock USB-C, écran externe 4K…).
Bien choisir son câble USB-C
Tous les câbles USB-C se ressemblent, mais leurs performances sont très loin d’être identiques. Pour éviter les mauvaises surprises, il est essentiel de comprendre que la forme ne fait pas la fonction. Derrière un même design, on peut trouver des câbles très limités… ou ultra-performants.
Le premier critère à surveiller est le débit de données. Un câble USB-C en version USB 2.0 ne permet que 480 Mbit/s, ce qui est suffisant pour une souris ou un clavier, mais clairement insuffisant pour un transfert de fichiers volumineux. À l’inverse, les versions USB 3.1 Gen 2, 3.2 ou Thunderbolt permettent des débits allant de 5 à 40 Gbit/s, idéaux pour des disques SSD ou des stations de travail.
Deuxième point clé : la puissance de charge. Tous les câbles ne supportent pas la même intensité. Certains se limitent à 15 ou 60 W, tandis que d’autres montent jusqu’à 100 W voire 240 W, notamment avec la norme USB Power Delivery EPR. C’est crucial pour recharger un ordinateur portable, un écran ou tout appareil gourmand en énergie.
Enfin, il faut considérer la compatibilité vidéo. Tous les câbles USB-C ne prennent pas en charge l’affichage sur écran externe. Seuls ceux compatibles avec le mode Alt DisplayPort ou la norme Thunderbolt permettent d’envoyer un signal vidéo stable vers un moniteur, un projecteur ou une télévision.
Pour s’y retrouver, certains fabricants apposent des logos officiels sur leurs câbles. Par exemple :
- USB PD indique une compatibilité avec la charge rapide (jusqu’à 100 W ou plus)
- 40 Gbps ou 20 Gbps signalent un haut débit de transfert
- Le logo DisplayPort indique une prise en charge vidéo
- Le logo Thunderbolt garantit la meilleure polyvalence (data, charge, vidéo)
Malheureusement, tous les câbles ne sont pas bien étiquetés. Si un câble n’affiche aucun logo ni information technique, mieux vaut le considérer comme basique et limité : souvent en USB 2.0, et incompatible avec la charge rapide ou la vidéo.
La règle d’or : investir dans un bon câble USB-C est souvent plus rentable que de jongler avec des câbles « au rabais ». Vérifiez toujours les caractéristiques techniques avant achat, surtout si vous voulez brancher un écran, recharger un MacBook Pro ou profiter de transferts rapides.
Voici un câble certifié USB-C 240 W fiable pour charger un MacBook Pro ou un écran gourmand.
Quel câble pour quel usage ?
| Usage | Câble recommandé |
| Charger un smartphone | USB-C 60 W certifié USB PD |
| Utiliser un chargeur puissant (PC) | USB-C 100 W ou 240 W (EPR) |
| Transférer des fichiers rapidement | USB-C USB 3.2 Gen 2 ou Thunderbolt |
| Connecter un écran externe | USB-C Alt Mode DisplayPort ou Thunderbolt |
| Tout faire avec un seul câble | Câble Thunderbolt 4 ou USB4 certifié |
La bonne nouvelle, c’est que l’écosystème USB-C tend à se stabiliser. Les normes USB4 et Thunderbolt 4 imposent désormais des caractéristiques minimales (comme le débit à 40 Gbit/s ou la compatibilité vidéo). Et avec l’arrivée des câbles certifiés 240 W, on peut espérer un avenir où la confusion laissera place à la clarté.
Obligation européenne et critiques
Depuis la directive (UE) 2022/2380 (appliquée dans le droit français), le chargeur universel USB-C est imposé dans l’Union européenne. Dès fin 2024, tous les smartphones, tablettes, écouteurs, liseuses, consoles portables, etc. devront être équipés d’un port USB Type-C, quelle que soit la marque.
Apple a dû s’y plier avec l’iPhone 15, abandonnant son connecteur Lightning. L’objectif ? Réduire les déchets électroniques, faciliter la vie des consommateurs et harmoniser les chargeurs.
Selon la Commission européenne, cette mesure pourrait :
- Éviter près de 1 000 tonnes de déchets/an,
- Faire économiser 250 millions d’euros par an aux consommateurs.
De plus, la législation européenne pousse vers plus d’uniformisation, avec l’objectif de réduire les déchets électroniques et de garantir aux consommateurs une meilleure interopérabilité entre les appareils. D’ici 2026, les ordinateurs portables seront également concernés.
Apple a été l’un des principaux opposants à cette harmonisation, dénonçant une mesure qui freinerait l’innovation et génèrerait paradoxalement plus de déchets à court terme. L’entreprise a toutefois fini par s’aligner, tout en soulignant que plus d’un milliard d’appareils Lightning sont toujours en circulation. D’autres critiques pointent aussi le fait que les technologies sans fil (Qi, MagSafe) ne soient pas incluses dans la directive.
FAQ sur l’USB Type-C : nos réponses à toutes les questions que vous vous posez
Qu’est-ce que l’USB Type-C ?
L’USB-C est un type de connecteur universel réversible, capable de transmettre à la fois de la donnée, de l’énergie (jusqu’à 240 W), de la vidéo et du son, en fonction des normes qu’il embarque.
Quelle est la différence entre USB-C et USB-A ?
L’USB-C est plus compact, réversible, et plus polyvalent que l’USB-A. Il peut gérer des débits plus élevés, des puissances de charge plus importantes, et la vidéo — ce que ne permet pas toujours l’USB-A.
Quelle est la différence entre USB-C et HDMI ?
L’HDMI est un connecteur dédié à la vidéo et au son, tandis que l’USB-C peut faire bien plus : transfert de données, alimentation, et parfois vidéo (s’il est compatible DisplayPort Alt Mode ou Thunderbolt).
L’USB-C est-il compatible avec tous les appareils ?
Oui pour le connecteur, mais non pour les fonctions. Certains ports USB-C sont limités à la charge, d’autres à la donnée. Il faut vérifier les capacités spécifiques de chaque appareil ou câble.
Est-ce que l’USB-C remplace le Lightning sur iPhone ?
Oui, depuis l’iPhone 15, Apple est passé à l’USB-C sous la contrainte européenne. Cela permet enfin une compatibilité accrue avec les chargeurs universels.
Pourquoi mon câble USB-C ne fonctionne pas ?
Cela peut venir d’un câble USB-C de mauvaise qualité ou non adapté : débit insuffisant, puissance trop faible, ou pas de compatibilité vidéo. Vérifiez les spécifications ou testez avec un autre câble.
Peut-on connecter un écran via USB Type-C ?
Oui, mais uniquement si le port USB-C de votre appareil supporte le mode Alt DisplayPort ou Thunderbolt. Sinon, vous aurez besoin d’un adaptateur dédié.
Quelle est la puissance maximale d’un câble USB-C ?
La norme USB Power Delivery (PD) permet jusqu’à 100 W, et même 240 W avec les câbles certifiés EPR (Extended Power Range).
Peut-on écouter de la musique via un port USB-C ?
Oui, certains smartphones utilisent l’USB Type-C pour la sortie audio numérique, compatible avec des casques ou adaptateurs USB-C vers jack.
Comment choisir un bon câble USB-C ?
Il faut vérifier :
- Le débit (USB 3.1, 3.2, 4, Thunderbolt)
- La puissance (60W, 100W, 240W)
- La compatibilité vidéo
- La présence de logos certifiés ou d’indications claires du fabricant
