Si vous avez des livres, des CD, des DVD ou des jeux vidéo qui traînent chez vous, pourquoi ne pas les revendre pour gagner un peu d’argent ? C’est ce que propose momox, l’application qui rachète vos objets culturels.
momox, c’est quoi ?
momox est une entreprise allemande spécialisée dans l’achat/revente d’objets culturels d’occasion, elle a été créée en 2004. Afin d’approvisionner ses stocks, elle a un système de rachat de ces objets auprès des particuliers et non auprès de grossistes ou n’emploie pas des personnes qui vont faire les puces et vide-greniers.
Pour faciliter la vente pour les particuliers, à savoir nous, momox est devenu une application mobile.
Comment vendre avec l’application momox ?
momox est donc disponible sur l’App Store et le Google Play Store. Utiliser l’application est un moyen plus facile de vendre ses objets, grâce à un fonctionnement intuitif. Une fois votre compte connecté, vous pouvez commencer à vendre.
Sur votre téléphone, vous avez sans doute une caméra : avec celle-ci vous allez pouvoir scanner le code-barre de chaque produit que vous souhaitez vendre : pas besoin d’entrer de références à la main. L’application reconnaît immédiatement ce que vous voulez vendre et l’enregistre dans votre panier de vente. Ces informations sont enregistrées : si c’est plus simple pour vous, vous pouvez reprendre la vente sur votre ordinateur.
A chaque article scanné, momox vous proposera un prix de revente, calculé selon l’état et la cote du produit en question. Afin de vous faire rester sur l’application, certaines offres sont exclusives sur mobile : des bonus de vente par exemple.
Bref, le fait de pouvoir vendre ses produits culturels depuis une application est quand même plus pratique, surtout lorsqu’on fait du tri dans sa bibliothèque, son placard, son étagère.
Mais alors, comment est-ce que ça se passe pour l’envoi de ces produits ? Dès 10 euros de vente, momox prend en charge les frais de port : on emballe le tout, on imprime l’étiquette et on dépose le colis dans un points relais Mondial Relay.
